Personnages (joueurs)

C’est ici que vous créez votre personnage. Pour cela il vous suffit d’en faire une description, en essayant d’apporter pas mal de détails, ou du moins les essentiels. A mettre impérativement : la description physique (s'il n'y à pas de photo du personnage en avatar, obligatoire), mentale, l’age (précis ou approximatif), ce qu’il fait de sa vie et pourquoi pas une petite biographie de son enfance (s'il s'est passé quelque chose de particulier qui peux expliquer son mental ou autre)
Un minimum d’une quinzaine de ligne est demandé.

Prénom : Tuomas
Age : Inconnu. Mais visiblement, environ 20 ans
Lieu de vie : Inconnu

" Une odeur, celle du sang. Chaud, rouge foncé, légèrement pâteux et coagulé, il s'écoule de la plaie béante, située sur toute la longueur du ventre de la femme. J'y plonge amoureusement mes mains. En phase d'agonie, elle pousse des hurlements inhumains. Je la sens partir, m'offrant sa vie...
Le liquide se repend lentement dans la ruelle, on peut y apercevoir le reflet de la lune.
En une pulsion animale j'arrache les boyaux moelleux, longs et gluants de la victime. Puis dans un élan d'hystérie je les frappe contre les murs qui m'entourent. Des passants me regardent aux extrémités de la ruelle, j'en fait abstraction totale, me laissant emporter dans ma folie meurtrière. Le sang mêlé au suc digestif s'échappe des boyaux, se répandant en grandes giclées sur les murs. Des frissons d'excitation m'envahissent, ce doit être la vie de cette femme que j'absorbe, qui me donne cette force et cette joie de vivre.
Je me mit à danser, pressant les boyaux au-dessus de ma tête, laissant couler ce qui me semble être la vie sur mon visage. La dernière goutte tombée, je jette violemment les restes sur la figure de la victime, à moitié consciente.
Un énorme rat s'approche de ce qui va bientôt devenir, un cadavre de plus. J'arrête ma danse pour m'approcher de lui. Comme moi, il aime le sang et la chair. Pas de raison qu'il ne profite pas du festin.
Je le pris dans mes mains et le rentra par la plaie. Le rat se mit à se balader dans tous les sens, à l'intérieur du corps. La peau se soulève sur son passage à cause de sa grosseur. Je souris, il doit se régaler...
La souffrance étant trop abominable pour la femme, elle mourra pour de bon.
Me sentant on ne peux mieux, je m'éclipsa en courant dans la nuit. "

Prénom : Daria
Âge : ~20aine d'années
Lieu de vie : Inconnu pour le moment

Daria est en fait une jeune fille normale, seulement ses centres d'intérêt et sa façon de penser sont quelque peu... décalés. Dès son plus jeune âge, elle aimait se détacher de son groupe d'amis pour s'imaginer possédant une sorte de bocal où des personnes imaginaires (ou de son entourage) se cotoyaient. Ils formaient ainsi son petit théâtre personnel... Elle en tirait les ficelles jour après jour, et cela constituait donc le déroulement morbide de leur triste vie. Lorsqu'elle s'ennuyait, elle aimait penser aux différents sévices qu'elle pouvait leur infliger comme par exemple les prendre entre ses mains d'enfant et serrer. A chaque cri naissant, elle serrait, encore et encore. Jusqu'à ce que leur corps ne soit plus que des os broyés. Et lorsqu'une goutte de sang lui coulait entre les doigts, elle l'a léchait. Goulument. et esquissait ensuite un sourire satisfait.

Depuis, elle se contenterait presque d'admirer la beauté des crimes mais la plupart ne lui plaise pas, elle les aime cleans. Les corps laissés au hasard au coin d'une rue la dégoûte. C'est mal vu.

Elle les aime immaculés, son truc c'est le travail quasi chirurgical.

Nom : Venetiah She Rozzeti







Description : De taille assez petite, et de corpulence mince, elle a un visage fin avec de jolis traits et de grands yeux bleus, ses cheveux sont noirs et mi longs ...

Nymphéa est une jeune fille âgée de 23 ans.

Son histoire :

Sa mère Aëlita n'avait que 17 ans lorsqu'elle s'est faite violée par un cyborg. Ne pouvant se faire avorter; elle a mis au monde sa fille Nymphéa seule, dans un recoin de l'usine désaffectée.
Aëlita fuit donc la ville pour protéger son enfant mais, malheureusement 8 ans plus tard les cyborgs finirent par la retrouver.
Elle ne survivra pas à l'attaque et Nymphéa, qui venait d'avoir ses 8 ans fut enlevée et confiée à la garde du proxénète Zoron.
Elle fut formée sans aucune échappatoire et mise sur le marché de la prostitution 1 an plus tard.
Elle ne parvint à s'échapper qu'à l'âge de 18 ans, et se cache depuis dans l'hôtel abandonné, près du repère des toxicomanes.

Son Physique :

Fort heureusement pour elle, elle n'a pas obtenu le physique de son géniteur.
Le seul élément qui rappelle son origine est le rouge vif de ses cheveux longs. Ils encadrent son visage et retombent le long de la courbe de son dos. Ses yeux sont sombres et brillent d'un éclat qui paraît surréel. Sa peau est si pâle que cela accentue encore plus le rouge de sa chevelure.
La jeune femme, bien que particulièrement mince, possède des formes généreuses.
Elle a obtenu l'agilité des cyborgs et leur endurance surhumaine.

Caractère :

Elle s'est forgée une carapace solide autour des traumatismes liés à son enfance et reste impassible devant les insultes et la décadence de ce monde.
Appartenant au groupe des anarchistes, elle fait le tour de la ville dans l'espoir de rallier les différents groupes à sa cause.
Ses premières sont les prostitués et les assassins.

Son idéologie :

Rallier le plus de monde possible dans un clan anarchiste pour stopper la création des cyborgs et des robots, afin de revenir au "meilleur des mondes".

Prénom: Kihya
Age: 18 ans tout juste
Lieu de vie: Inconnu

A la suite d'un terrible accident, encore inconnu pour elle, Kihya ne vit plus jamais comme avant. Depuis 11 ans, toujours le même trou noir, le vide totale dans sa tête, elle essaye de se découvrir. Des marques incrustées dans sa tendre chair de jeune fille, lui défigure le dos et une partie de son visage, toujours couvert par une mèche de cheveux.

"Il rit comme un con, mon sale ivrogne de père s'est encore bien bourré la gueule! La bouteille à une main, l'autre à moitié sur le volant, car des fois je la vois rejoindre sa bouche, qui dégouliné d'alcool. Ce soulard de ce qui me sert de père allait encore rentré dans un état qui allait énerver ma mère. Ma pauvre mère qui n'a jamais rien demandé, toujours caché derrière ses fourneaux, à essayer de lui échapper. Il allait rentré, elle allait s'en prendre une, même pas qu'une. Il zigzague sur la route, les voitures lui échappent de peu. 180 km au compteur. Je tente de le calmer mais il me jète dans le fond de mon siège. Une forte lumièr ... "

Seul reste d'un de son journal intime, où elle écrivait dans les coups durs, où elle écrivait quand elle avait fumé deux trois joints, où son esprit est libre de toutes pensées. Seul reste de son ancienne vrai vie.

Où elle traine aujourd'hui n'est pas des plus surs. Elle passe de rues en rues, reste dans un squatt à droite à gauche.Elle a rencontré beaucoup de personnes toute aussi spéciale les une que les autres.
Un soir de délire, après avoir beaucoup fumé et bu [ elle hérite malheuresement d'un peu de son père ], elle s'est fait percer des labrets un peu sur chaque lèvres ^^
Aucun regret.

Dans ce monde, la seul chose qui la dégoute, c'est les corps qu'elle trouve dans la rue, des corps morts mangeaient par les insectes, puanteur ambulante, déchiquetés jusqu'à l'os.

Elle a toujours voulu la paix dans un monde meilleur... Kihya vit au jour le jour, essaye de se battre pour continuer à vivre.

Elle exerce quelques jobs pour se faire du fric, mais pas pour longtemps.
Plus les jours avancent, et plus elle se sent faible. Héritant de problèmes cardiaques, elle ne peux faire d'efforts intense, et la fumette la détruit encore plus.

Lieu de vie inconnu.

Ian n'a pas toujours été cet homme rempli de rancoeur et d'envie de vengeance. Il est né dans une situation plutot aisée et n'a pas tardé a se lancer dans une carrière politique alors qu'il était très jeune. Son ascension a été remarquablement fulgurante et il s'est vite retrouvé, de ce fait, à la tête de plusieurs postes de haute importance...

... Mais qui dit haute importance, dit aussi risques et dangers. Il n'a pas tarder à s'attirer les foudres des cyborgs qui étaient totalement contre ses idées, et qui, en tentant de l'éliminer, ont tué sauvagement son aimée ... Humilié, descendu, et carrément retrogradé, Ian s'est retiré de ce monde là à jamais.

Depuis ce jour, il a pris la tête d'un clan et espère rétablir une justice en ce monde et accomplir les idéaux qu'il a toujours eu ..

D'une nature habituellement calme le jour, son instinct et sa force aisni que le reste de ses sens s'eveillent réellement la nuit, comme si il était possedé (c'est de la qu'il tient son nom de "Sleepwalker")... Il est naturellement très intelligent.

Son seul point faible est peut être son aimée, disparue depuis longtemps mais qui hante toujours aussi fortement son coeur. C'est la seule corde sensible qui pourrait avoir sa peau ...

<<Je la vois .. Elle me sourit, toujours aussi belle, immortelle, si près, mais pourtant toujours si lointaine ... Elle caresse mon visage mais je ne parviens pas à sentir ses doigts sur ma peau ... Elle disparait, je ne veux pas qu'elle disparaisse, mais c'est inévitable .. Leanor, combien de temps va tu encore me faire soufrir ainsi ...?>>

Informations en tout genre:

Nom: Inconnu
Prénom: Nadalah
Age: 24 ans
Pseudonyme: Rose
Situation: Célibataire
Taille: 1m83
Poids: 57kg
Taille de vêtements: 36
Tour de poitrine: 90 C
Métier officiel: Aucun, ex-mannequin à la retraite depuis un an
Métier officieux: Tueur à gage
Passions: Inconnues

Définie par la police comme le succube.

Un bout de chemin avec elle:
(Version light spécial ames sensibles )

Un cri d'effroi retentit dans le noir, la musique et la fumée était si intense dans ces bas fonds que personne ne s'inquiétât de savoir qui l'avait poussé, de toute façon c’était ici une habitude.
Quelque part sur le sol de pierre un homme entièrement nu se roulait par terre tenant son abdomen saisit de tremblements incontrôlables, une mare de sang d'un rouge sombre s'élargissait autour de lui.
Une femme nue elle aussi était allongée le long de son corps, gémissant pour couvrir les cris ou peut être pour les justifier qu’importe ?
La tète négligemment posée sur son épaule, et glissant sa main à la peau d'une blancheur diaphane sur le sol l'imbibant du même coups de fluide vital qu'elle porta à ses lèvres vermeilles.
Lécher aussi goulûment son index ensanglanté lui procurait une impression de force, elle n’aimait pas particulièrement ce goût qu’elle trouvais plutôt acre mais c’était un symbole.
Elle retournait sans cesse le poignard fiché dans la poitrine de son pseudo amant, il l’avait servi mais maintenant il était de trop. Elle s’assit à califourchon sur son ventre frémissant, couvert de la sueur des derniers instants, cabrant son dos et le guidant en elle, riant à gorge déployée quand lui laissait éclater sa douleur, et inlassablement retournais le poignard alors que le poison faisait son oeuvre.
Le mourant chuchotât dans un dernier souffle mais ses paroles étaient incompréhensibles en dehors d’un seul mot prononcé avec force : "crève"
La jeune femme sourit elle semblais s’amuser beaucoup, un sourire carnassier avant de lui adresser pour dernières paroles d'une voix douce et mélancolique:
"Ainsi soit il"
Elle embrassa l'homme étendu au sol, saisit le poignard fiché dans sa poitrine et le retira dans un bruit de succion, pendant qu'il se vidait sur la pierre mouillée. Il faut croire qu’elle aimait sentir sous ses doigts fins la vibration infime de l'os qui se fend et de la chair tranchée.
La plaie béante semblait l’attirer, elle y plongeait ses mains fines aux ongles tranchants, abreuvant sa chair d’un sang encore chaud et se relevât doucement, sortant de lui en exposant ses formes parfaites comme dessinées dans le seul but d'être admirées, ses cheveux cascadaient sur ses épaules dans un torrent de boucles soyeuses, son sublime visage disparaissait sous un masque fin, ses yeux dorés semblaient vides tellement ils étaient clairs.
L'inconnue posa son poignard sur la poitrine de sa victime ainsi qu'une rose rouge, poétique simple mais montrant un goût prononcé pour les artifices, enfin elle consentit à se rhabiller, lassant sans précipitation sur sa poitrine un corset de cuir noir brodé d'argent puis un pantalon orné de divers lacets de cuir, venaient ensuite des bottes, toutes en longueur, de talons aiguilles en lacets et ceintures elle pris son temps en observant le corps gravant dans ses yeux chaque détail avent de disparaître dans la nuit, elle emportait du même coup avec elle ses secrets, le portefeuille et les papiers de sa victime.

Référence : ENJ594
Types : Cyborg
Age : 18ans

Histoire: Kidnappée à l’age de ses 14 ans et transportée dans le monde Unknown par un inconnu, ENJ ne s’est jamais habituée à ses membres électriques et à la catégorie à laquelle elle appartient. Depuis son arrivée ici, ENJ ne s’est faite aucun amis et passe son temps à se prostituer dans les bars pour gagner sa vie. Tous les soirs elle rejoint seule son logis sous les regards des êtres humains. De plus en plus, ENJ se sens méprisée et à l’impression de ne pas être aimée ou acceptée dans le monde où elle vit. Partout où elle va, ENJ se sens mal à l’aise, regardée, critiquée et elle donnerait se qu'elle as de plus chère pour changer son apparence et ses membres articulés.

Physique : Malgré le refus de son corps, ENJ est une jeune fille de corpulence mince et possède pourtant de vrais atouts. Ses grands yeux noirs, et sa bouche fine attirent énormément le regard des hommes. Elle aime jouer de son charme, cependant elle n’apprécie pas vraiment son petit nez rond. En ce qui concerne son corps, sa combinaison noire ne laisse pas paraître beaucoup de détails mis à part sa poitrine généreuse.

Son rêve: Se faire des amis et devenir humain.

Je suis né il y a vingt-trois ans, quelque part dans cette ville sale et tellement morte que j'ai encore du mal à croire que ma mère ai pu engendrer la vie dans cet endroit. Je ne suis pas resté lié très longtemps à ma génitrice qui est morte quelques heures après m'avoir mis au monde ; sans doute une pute, une S.D.F, ou encore une femme destinée à ne pas connaitre une vie très glorieuse ..
J'ai du rester comme ça, à brailler, pendant des heures jusqu'à ce qu'un homme me me trouve et décide de s'interposer dans mon destin qui n'allait surement pas briller si je restais là. Gérant d'un club privé dans un quartier chic, il avait une vie en apparence relativement posée par rapport aux normes de l'époque. Lui et sa femme m'adoptèrent immédiatement.

J'ai eu si on puis dire une enfance paisible et à peu près sans problèmes jusqu'au jour de mes douze ans où mon père s'est fait tuer par des cyborgs sous mes yeux, suite à un soi disant "malentendu" au sujet de certains clients du Club ..
La perte de cet homme qui m'était si cher m'a causé un choc si terrible que je me suis enfermé dans mon esprit, par désir de preservation vis à vis du monde exterieur. Me croyant attardé, les gens autour de moi n'osaient plus me parler comme avant. J'ai vite perdu le peu d'amis que j'avais réussi à me faire. Seules deux personnes persistaient à rester proches de moi : ma mère, et Venetiah, ma plus chère amie d'enfance.

La situation continuait aussi à se compliquer du côté de ma mère, qui gérait desormais le Club à elle seule. Elle se faisait en effet constamment harceler par la même organisation de Cyborg, au service du gouvernement, qui avait tué mon père. Ils auraient pu l'éliminer d'un seul coup comme ils le faisaient d'habitude, mais il faut croire qu'ils voulaient la voir soufrir ...
Elle agonisait en silence, seule, se mourrait à petit feu, et étant trop jeune, je ne pouvait rien faire pour l'aider.
Ca n'a pas raté, elle a fini par mettre fin à ses jours en s'ouvrant les veines dans son bain, une fin propre, peut-être un peu trop à son image.

Ma douleur et ma haine n'ont fait qu'empirer. J’ai cessé définitivement de faire don de ma confiance en quiconque. Ma vie a commencé a devenir doucement, mais surement amère et mon cœur n’était plus capable d’aimer comme avant. Tous mes rêves se sont figés, tous mes espoirs se sont envolés, et l’innocence que je portait en moi s’est définitivement brisée …
Mais cette désillusion, pourtant totale, a quand même réussi à m’ouvrir de nouvelles portes.

Arrivé à cette periode, qui allait se réveler houleuse pendant de longues années, cette passade qu’on appelle communément « adolescence » mais qui n’est rien d’autre que l’âge de tous les affres, mais avant tout de l’éveil du désir et ses assimilés, je me suis mis à ressentir les choses de façon relativement différente.
J’ai ainsi découvert ma réelle attirance pour des choses m’ayant quelque peu taraudé pendant mon enfance, mais que je n’avais jamais osé approcher ; cette attirance pour le charnel, tout ce qui se rapporte au corps, à la chair et au plaisir des sens, mais surtout au sang.
La première fois que j’ai intensément désiré quelqu’un de cette manière, je n’avais même pas quatorze ans, et ça s’est terminé en orgie de sang dont je me suis goulûment delecté. Depuis ce jour, je ne peux resister à ces « pulsions » qui s’emparent de moi quand une personne (homme et femme confondus) me plait particulièrement.

Je vis au jour le jour, au gré de mes envies, exerçant de divers jobs, par ci, par là .. J’ai eu d’office possession d’une chambre au dessus du Club, connaissant assez bien le nouveau gérant. A part Venetiah, je n’ai plus réellement de vrais amis, partant du principe qu’il ne faut se fier qu’à soi même.
J’ignore ce que la futur m’apportera, mais mes sens perçoivent quelque chose de noir qui se met en marche petit à petit …

Prénom : Guilhem
Age : 19 ans
Sexe : Masculin
Catégorie : Voyageur

Il y a 19 ans de cela, à l'intérieur du plus grand laboratoire du monde d'Unknown, dans une salle blanche carrelée emplie d'assistantes paniquées et de médecins incompétents, un petit garçon nommé Guilhem vit le jour. Il ouvrit ses deux grands yeux gris innocents, ne pouvant imaginer dans quel monde dévasté il venait de naître, ni quel destin douloureux l'attendait. Ce petit garçon ne pleura pas, il respirait la joie de vivre et l'espoir de grandir. Mais ce qu'il ne savait pas, c'était que ses parents étaient deux grands scientifiques de renommée, et qu'il n'était pour eux qu'un échantillon destiné à servir une expérience monstrueuse.

Guilhem s'aperçut très vite qu'il ne vivrait jamais une enfance ordinaire. Quelques mois seulement après sa naissance, ses parents l'enfermèrent dans leur gigantesque laboratoire, laissant les infirmières aux gestes mécaniques s'occuper de ses besoins. Guilhem ne connut pas l'amour familial. Très vite, il fut utilisé comme un outil pour servir les expériences de ses parents. On lui injecta des substances dans le corps pour observer comment celui-ci réagissait, on lui greffa plusieurs nouveaux organes, on lui scalpa la peau... Il dut supporter la chaleur d'un four sur son corps pour que ses parents puissent observer combien de temps il supportait la chaleur, on lui coupa les doigts de la main pour les recoudre le plus rapidement possible, on lui préleva un morceau de langue pour voir s'il parvenait encore à parler et à manger. Il n'était pas le seul enfant dans ce cas. Des milliers d'autres enfants vivaient dans ce laboratoire, supportant chaque jour l'enfer des opérations.

Il demandait souvent à ces parents pourquoi il devait subir tout ça, pourquoi il ne pouvait pas être un enfant heureux et aimé. Ils lui répondaient qu'il devrait être fier de son rôle, qu'il servait la science, que grâce à lui on trouvait chaque jour des remèdes contre les maladies les plus graves. Le pauvre Guilhem essayait de se satisfaire de cette réponse, et s'imaginait dans ses rêves d'enfant qu'il était un héros. Ce dont il était sûr, c'était que ses parents, eux, s'aimaient. Ils étaient ensemble, passionnés par leurs expériences, se désiraient comme aux premiers jours.

C'est à l'adolescence qu'il put s'apercevoir des dégats qu'avait causé la science sur son corps. Il avait la peau couverte de cicatrices, il ne parvenait plus à faire un effort pshysique sans être épuisé, et savait que les substances chimiques qu'il avait absorbé avait pourri son coeur à jamais. Seul son visage était à peu près intact, sans doute un cadeau de ses géniteurs qui n'avaient pas le coeur de lui détruire la figure comme ils le faisaient à d'autres enfants. Ses magnifiques yeux gris, ses cheveux noirs mi-longs, et son visage fin avaient conservés une beauté grâcieuse et envoûtante. C'est à cette période également qu'il tomba amoureux. L'heureuse élue, une jeune fille prénomée Aliénor, était une jeune contestataire qui tentait de se révolter face aux scientifiques. Elle incitait Guilhem à agir contre ses parents, démontrant leur monstruosité, et souvent leurs discussions enflammées se terminaient par un baiser passionné. Mais is n'avaient pas beaucoup de temps pour se voir, car les garçons et les filles n'étaient jamais mélangés dans les cellules.

Un jour, malheureusement, Aliénor ne survécut pas à l'opération. Le coeur déchiré, Guilhem réussit miraculeusement à s'échapper, enfin convaincut que ses parents étaient diaboliques et que leurs expériences ne faisaient que salir l'humanité.

Depuis ce jour, il parcourut Unknown, dégouté par ce qu'était ce monde dans lequel il vivait, ce monde empli de charognards et de pollution. Guilhem ne se liait pas facilement aux gens, se méfiait de tout le monde, et son caractère sauvage et impulsif déstabilisait. Mais sous cette carapace animale, il ne s'était pas encore rabaissé à devenir un cannibale ou un assassin et conservait le peu d'humanité qui battait encore dans son coeur, comme lorsqu'il nacquit et ouvrit pour la première fois ses beaux yeux gris sur ce monde ravagé.

Il avait conservé sa sensibilité.

Prénom : Malva
Age : 17 ans
Sexe : Féminin
Physique : Malva est une jeune fille de taille moyenne, fine et adorablement musclée. Elle arbore de courts cheveux bruns hérissés sur sa tête. Ses yeux, on ne sait pourquoi, n'ont jamais de couleur définie, elle varie du gris pâle au rouge ardent. Avec l'expérience, Malva a deviné que la couleur de ses yeux changeait en fonction de ses humeurs, elle ne sait pas encore que tout ceci est du à une expérience qui avait été subie par sa mère, lorsqu'elle était enceinte.
( Catégorie : Tueuse à Gage pleaaase (L) )

Malva. Un prénom. Un coeur qui bat. Sans aucune émotion.
Cela fait bientôt 8 ans que Malva est livrée à elle-même, dans ce monde où seul le chaos est maître .

Parents, un mot qu'elle ne connait pas. La jeune Malva a vécu avec d'autres enfants de son âge jusqu'à l'âge de neuf ans, dans une sorte de bâtiment technologique à moitié détruit. Elle n'avait jamais été la bienvenue, les autres enfants adoraient la taquiner, lui piquer ses repas, son lit, ses draps propres. Elle passait ses journées près du grand chêne au milieu de la cour, à le caresser, à rêver, à penser, à observer. Elle regardait les jeunes courir, rire, se battre. Elle les enviait.
Au fur et à mesure du temps qui passait, Malva réalisa qu'elle ne se sentait pas chez elle ici. Elle commença par jalouser ces petits jeunes, puis elle finit même par les haïr. Et son coeur laissa bientôt place à la plus grande indifférence pour le monde qui l'entourait. Peu lui importait ce qui se passait à présent. Malva s'était refermée sur elle-même ...

Et un soir sombre du mois que l'on appelait le mois des morts, Malva ouvrit lentement la porte du dortoir commun, encapuchonnée dans une cape grise bien trop grande pour elle. Elle s'avança dans les couloirs, se dirigea vers la sortie, et regarda une dernière fois cette clinique délabrée . Elle resserra son manteau autour d'elle : elle avait pris sa décision . Elle prenait sa liberté, plus jamais elle n'aurait à souffrir de la sorte . Malva laissa l'imposant bâtiment dans son dos, et entreprit de construire sa route . Sa propre route .

Depuis bientôt 8 ans, Malva, si jeune, tue, tue, tue pour survivre dans ce monde. Elle a besoin de se nourrir, voler piller, parmis les décombres des bâtiments environnants . La technologie, contraire à toutes les lois du coeur, avance, et fais rage. Les gens ont besoin de gens comme elle, des tueurs à gages, pour pouvoir obtenir ce qu'ils désirent sans risquer d'y laisser leur peau. Robots, cybercops, expérience. Le monde que vous connaissiez a laissé place à une vraie jungle de science-fiction.

Malva se bat pour survivre, dans son intérêt, et celui de personne d'autre. Encore moins celui de ce monde, qu'elle n'a jamais considéré comme quelque chose d'existant, à valeur sûre.

Peut-être sa route croisera-t-elle celle de quelqu'un qui saura la rallier à sa cause. Qui sait :] _

Alexia âgée de 18ans.

Malgré des formes généreuses, Alexia est plutôt grande et mince. Parmis beaucoup de ses atouts physique, son visage, pâle, est orné par ses longs et beaux cheveux noirs. Ses yeux bleus, souvent maquillés de noir, laissent place à un regard très profond.

Son histoire : Alexia fut élevée dans une famille assez aisée. Etant fille unique, elle avait beaucoup de mal avec ses parents qui auraient préféré une "fille sage". Elle aimait le danger et les histoires qui sortent de l'ordinaire.
A 17ans, elle s'enfuie de chez elle avec Roman, son petit ami avec qui elle vivait un amour fusionnel depuis un an. Ils se retrouvèrent à errer dans un vieil hangar désaffecté. Pendant plusieurs mois, ils avaient tout ce qui leur fallait, nourriture, drogue... Jusqu'au moment où ils n'ont plus eu suffisamment d'argent. Les problèmes commencèrent, les dettes, les dealers mécontents...
Parmis eux, Valfar, junkie, qui avait trop fumé ce soir là, réclamait son fric depuis bien trop longtemps, alla rendre une petite visite aux deux amoureux. Heureusement pour elle, Alexia n'était pas de la partie ce soir là... Pas le temps de s'expliquer, le coup de couteau que reçu Roman lui fut fatal. Lorsque Alexia retourna au hangar et qu'elle aperçu le corps de son bien aimé, gisant sur le sol, elle sentie ses jambes trembler et elle tomba a terre. Sa poitrine se serra à tel point qu'elle cru pouvoir sentir son cœur se briser. Elle resta là, toute la nuit, à pleurer toutes les larmes de son corps, comme pour faire un adieu à celui qui lui avait montré l'amour. Enfin, elle se releva, posa un dernier baiser sur les lèvres froides de Roman et partit bel et bien décidé à venger celui qu'elle aimait.

La description physique, mentale, l’age, ce qu’il fait de sa vie et pourquoi pas une petite biographie de son enfance.

Digitalew n'est ni grand ni petit. Il est mince et a une musculature qui lui convient très bien. Il a des cheveux noirs, fins, assez long sans pour autant arriver ne serait-ce qu'à ses épaules. Il a des yeux d'un noir profond et a une longue cicatrice sur la jambe droite.
Il aime les couleurs et le montre à tout le monde par le biais de ses tee-shirts aux motifs originaux ainsi que par de nombreuses paires de sneakers très flashy. De par son attitude nonchalente, on ne le prend pas souvent au sérieux alors qu'il cache un grand intellect et un esprit stratégique digne de certains grands seigneurs militaires.
On le trouve souvent dans les bibliothèques, en train de feuilleter de gros ouvrages sur la botanique, l'anatomie humaine ou alors lisant simplement des comics, dont il raffole. Fanatique de jeux vidéo, il tient sa logique et sa rapidité de raisonnement de ce support multimédia. Ayant une grande culture générale, il écrit souvent dans nombre de journaux, traitant de thèmes différents.
Digitalew a commencé ses études à l'âge de cinq ans et les a prolongé jusqu'à ses 22 ans. Il est alors en classe de littérature supérieure. Un de ses amis l'invite dans une boîte branchée du coin. Le choc est immédiat, la musique le transcende, il sent toutes les mélodies passer à travers son crâne et ressortir en y laissant des dégâts mais aussi des images. Un véritable univers prend alors forme dans son esprit. Un univers coloré mais dur, un endroit qui vibre au rythme de la mélodie environnante. Une porte s'ouvre en lui, sa destinée se voit toute tracée...
Deux semaines plus tard, Digitalew s'achète le nécessaire pour pouvoir faire de la musique électronique. Commence alors pour lui une vie d'autiste. Il ne sort plus et passe ses journées sur son laptop, usant jusqu'à la corde la led de la pomme blanche. Il peine, commence par réussir à créer une simple basse, puis il arrive à ajouter un autre son...
Au bout de huit mois d'apprentissage de folie, son premier morceau est né. Ce morceau incarne 8 mois de sueur, 8 mois de passion. Digitalew y a mis beaucoup d'éléments de sa personnalité, y compris le souvenir de cette soirée qui fut pour lui le déclic.

Le nom de ce morceau est 'Genèse'.

Il lança son morceau sur l'internet et très vite, des gens bouleversés devinrent des adeptes à cette nouvelle musique, de la musique électronique sentimentale, quelque chose de puissant. Les gens frissonnaient à l'écoute de 'Genèse', ils avaient les larmes aux yeux, étaient parcourus de spasmes de joie, hurlaient de plaisir, vivaient.
La presse se confondait en éloge et glorifiait ce titre comme jamais aucun ne l'avait été depuis l'existence même de l'humanité.
Digitalew, lui, était changé. Tout était nouveau pour lui, on lui proposait nombre d'offres alléchantes.
Il décida de signer avec un petit label indépendant qui avait un logo magnifique.
C'est ainsi que commenca la carrière internationale de Digitalew.

Onze ans plus tard.

Actuellement au sommet de sa carrière, son deuxième album qui vient de sortir s'est arraché à plus de 5 milliards d'unités.

Mais des scientifiques se sont penchés sur cet artiste. En effet, Digitalew ne répond à aucune interview et ses lives se passent dans des salles complètement obscures. Une lumière unique éclaire la porte de sortie de secours. Pour le reste, le public peut, à chaque fois, discerner un genre de capsule dans l'obscurité. Mais depuis qu'il a commencé la musique, il n'est représenté nul part.
Tout est devenu flou autour de son identité, on sait juste qu'il aurait, logiquement, 33 ans.

C'est comme si il était devenu Dieu.

Surnom : Steamboat
Age : 21 ans
Sexe : Masculin
Signe particulier : Cyborg


Steamboat est un être assez spécial.
C’est un cyborg et il en est fière, en effet il revendique ce coté assez marginal de sa personne. Il n’aime pas les humains ou du moins les être ‘non-cyborg’ et n’hésite pas à les sacrifier. Son passe temps consiste à tuer les humains jusqu'à se délecter de leurs corps gisant sur le sol.

Son apparence physique est très impressionnante puisqu’il possède une grande masse musculaire, ce qui lui donne ce côté baraqué qui fait fondre toutes les petites cyborgs, niaises et connes. Il ne veut pas s’encombrer avec des relations à long terme, il préfère les histoires d’une nuit, afin d’avoir son quota de sexe journalier comme il dit.

Steamboat reste très discret sur son enfance et son adolescence, tout ce qu’on sait c’est qu’il à commencé de vivre à 18ans, suite à sont départ du domicile familiale.

Un soir, dans les ruelles sombre d'Unknown, Steamboat croisa une jeune fille. Sa peau était blanche avec quelques taches de rousseur et ces cheveux roux caressaient le vent. Tête baissée, celle-ci avançait à grand pas et elle eu juste le temps d'apercevoir les yeux de son agresseur. Steamboat lui attrapa le bras avec une telle force que la fille se brisa la nuque contre les pierres et il commença d'entreprendre sa charcuterie pour vérifier si elle faisait bien partie de 'cette putain de race humaine' comme il disait très souvent. Il sorti de son long manteau un couteau et entailla le bras de la jeune fille. Aucun câble, aucune anomalie s'y trouver, juste de la chair, du sang et des cris.
Steamboat continua son oeuvre en enfonçant ses doigts salis de terre et de boue dans son crâne pour en ressortir ses yeux. Il coupa deux traits de chaque côté de sa bouche, le 'sourire de l'ange' comme il était appelé. Une marre de sang autour d'eux commencer à se former et des pas arrivaient en leur direction. Steamboat parti alors qu'il ne venait que de commencer, il n'aimait pas achever un travail non terminer mais il s’enfuit de force pour ne pas se faire repérer.

Sa naissance.

La naissance d'un être, ou plutot d'une machine, une machine à première vue innofensive et sans intéret.
Une machine pourtant si recherchée, et si crainte à la fois.
Nul ne connait les raisons exactes de cet angouement quant à la capture de cette machine, cette machine plus communemment nommée, cyborg.

Il y a plusieurs types de cyborg sur cette planète et une chose est sûre, bien qu'ils soient nettement inférieurs en nombre, ils sont largement supérieurs intellectuellement à la race humaine.

Les humains le savent, ils les redoutent, et en général, les fuient.

Les cyborgs eux, aiment les humains, mais de loin. Ils les admirent, sans oser leur parler, les contemplent avec une certaine envie. Ils aimeraient beaucoup leur ressembler, mais font tout pour cacher ce désir, il est absolument nécessaire pour eux, de dissimuler ce souhait, l'enfouir au plus profond d'eux même, jusqu'à son etouffement partiel.


Yatchbot, elle, n'a plus peur de rien, ni de personne.
Elle se dit qu'elle n'a rien à perdre, rien à gagner.
A vrai dire, Yatchbot n'a tout simplement, rien.

Ce "rien" est sa force.

Et ce "rien", pourrais devenir la faiblesse humaine.

INTERSTELLA, NOUVELLE ICONE DE LA SCENE ELECTRO

A ce jour, Interstella à conquis des milliers et des milliers de fans. Son premier album tourne en boucle sur toutes les platines des DJ les plus électros de la côte. Un disque bien ficelé et kaleïdoscopique, aux milles sons et influences qui fait l'effet d'une bombe dans les clubs les plus prisés du monde. Cet album mêlant de manière géniale pop, disco et techno est une preuve supplémentaire de son talent. Le voyage continue par "All is strange", où la voix d'Interstella s’allie encore parfaitement à la basse, après une intro glaçante. Les glissements électroniques se mêlent à merveille aux sons de tintements de cloches, de cymbale, et au doublage étonnant de la batterie par une sorte de beat box vocale discrète. La fin oppressante et le texte assez sombre confirment bien le fil directeur de l’album. Difficile de ne pas se laisser conquérir par une certaine joie induite, totalement indescriptible à l’écoute de l’album(et plus particulièrement de ces morceaux).

A vous donner des frissons...

N'en déplaise à toutes les prétendantes du milieu, Ambre est de loin la chanteuse la plus talentueuse d'opéra. Ses prestations scéniques ont jusqu'à présent toujours été inoubliables; de part sa présence plus qu'imposante mais aussi sa voix.
Et quelle voix... Envoûtante et émouvante tel un chant de sirène et un vibrato hors norme d'une puissance à couper le souffle.

Ambre est issue d'une famille d'anciens hommes politiques. De ce fait, elle a connu une jeunesse aisée et remplie d'avantages. La culture a toujours fait partie intégrante de son quotidien. A vrai dire, elle n'en eu pas le choix. Ses parents étaient rarement présents au foyer familial alors elle s'est vue passer son enfance au bras de nourrices, éducatrices etc. Les géniteurs d'Ambre leur ont demandé de lui transmettre une éducation parfaite, complète et par dessus tout stricte. Et cela marcha.

Les résultats d'Ambre ont toujours été exceptionnels et vertigineux. En plus des cours de piano, chant et danse classique elle se découvre une passion pour les vêtements d'époque. Elle finit par dessiner ses propres robes et même rafistoler les siens en y ajoutant des éléments de type Victorien et Baroque, comme de la dentelle ou des brodures dorées. Voyant sa professeur de chant éblouie par tant de facilité, elle rentra dans un des plus grands conservatoire spécialisé dans le chant lyrique. Toutes ses auditions furent attendues impatiemment du personnel éducatif qui la savait déjà promise à de grandes choses. Évidemment en quelques mois, portée par le tremplin qu'est cette école prestigieuse, Ambre fut très vite en haut de l'affiche.


Seulement, il y à un malaise. Personne ne sait ce qui se passe au fond d'Ambre. Elle sait ce que l'on attend d'elle et le donne généreusement, mais la jeune femme introvertie ne parle jamais. Ambre écoute ses instructions et les suit à la lettre; elle les applique même divinement bien. Mais au delà de tout cela, quelque chose cloche.
Les chanceux qui ont eu l'honneur de la rencontrer ont du voir en elle une profonde mélancolie. Une tristesse inconsolable...
Mais lorsqu'elle chante en costume, sur scène elle devient tout autre. Une merveille, un ange, une déesse; car oui, il y à quelque chose de divin en elle. Une effervescence se dégage. L'émotion se transmet aisément au public et les violons plaintifs à souhait ne font qu'accentuer cette ambiance tragique, délicieusement portée par les vocalises déchirantes d'Ambre.

Son nom est Hope. Justicier des temps modernes, on ne connaît pratiquement rien sûr lui et de sa vie.

Physique d’un homme d’une trentaine d’années, sa silhouette dégage puissance et charme. Individu de taille moyenne, dans les 1m80, aux cheveux longs couleurs châtains. Ses yeux sont la pureté de son âme , d’un bleu azur tirant sur le vert des vastes prairies d’autrefois.

Très peu de gens le connaissent vraiment ou ont vu son visage de près. Seuls sont ceux qui ont eu la malchance de le voir dans les yeux quant il prêt de leurs ôter la vie.

Quand on le croise, il inspire sagesse et terreur. Parcourant les endroits mal famés de la cité d’ Oblivion à la recherche de criminels à liquider affublé de son long manteau noir.

Mental d’acier, d’apparence calme, il n’hésite pas au contraire à tuer froidement son ennemi.

Seul son mentor connaît son enfance. Dernier enfant d’une famille nombreuses d’ouvriers, il fut traumatisé par l’anéantissement de toute sa famille. Un soir, en rentrant de l’école, il croisa un homme sortir précipitamment de sa maison. Intrigué, il pénétra dans la demeure familiale et y découvrit le massacre. A partir de ce jour, il se jura de faire payer cet homme qui avait commit cet acte monstrueux sur sa famille. Par la suite, il décida de poursuivre des études de droits où il arriva à atteindre le rang d’avocat. Il se maria avec une ravissante jeune femme mais elle fût tuer par un jeune récidiviste pour se venger de son mari qu’il avait mis en cabane. Il ne fut même pas poursuivi en justice tellement cette justice était corrompue.

Perdant toute confiance en ce système, il décida de se faire justice lui-même en exterminant tous les tueurs et autres individus mauvais sur cette Terre.

Prénoms : Pomme, Thom et Dudun.
Ages : 13, 11 et 16
Lieu de vie : La Biscuit Place

Au milieu d'un lac boueux, pollué par les dépots d'un restaurant de luxe, se trouve ce que les frêres Biscuit se plaisent à appeller la "Biscuit plaaaaace", sorte de maison du bonheur cyber-punk, théâtre de la douce déchéance au fil des âges, d'une jeunesse de plus en plus polyvalente et ouverte, bien que complétement désenchantée. Contraste moderne entre les tendances actuelles, formatant un par un chaque système nerveux, et les valeurs oubliés, utopiques, qu'étaient la liberté, l'absence de règles, le "do it yourself".
La Biscuit Place se présente comme une grande batisse colorée, aux murs recouverts de graffittis, de publicités kitschs retro et de grandes fresques naîves, représentant des paysages enchanteurs. Soulignons que la "charpente" de cet "endroit" est construite en Lego, l'une des passions commune aux trois fréres.

A l'intérieur ? Tout ce qui représente l'adolescence, a savoir un parfum de glande, des consoles entassés dans tout les sens, des posters de groupes branchés, des toyz Kid Robot, quelques vetements négligés, des bouquins, des disques, des pots de peintures... Pas de frigo : chez les Biscuit, c'est Kebab Bio matin, midi et soir. Pas de baignoire, ici on préfère puer. Seul Pomme, dans un soucis de décence, prend une douche une fois par semaine dans les vestiaires du cours de sport.
Quand l'un des 3 freres a besoin de quitter la bulle familiale pour s'aventurer parmis ses semblables, il emprunte le crocodiles en Lego, construit par Dudun (Genre comme ça, mais GROS et noir pour faire stylé).

Pomme Thème : Unkle Lonely Soul

Pomme, est l'homme a tout faire de la maison, il ramène la bouffe, le fric, les jeux vidéos ect... Ses yeux sont si cernés, qu'on ne voit même plus ses pupilles. Sa démarche bancale couplée a l'extreme finesse de ses jambes rendrait pour lui la moindre chute fatale. Androgyne, il aime s'occuper de lui, apportant du soin à sa tenue vestimentaire et à sa coiffure, rappellant un animal mort. Il est le seul a etre scolarisé, son physique de mannequin et la part de mystère qu'il dégage en font une figure populaire de son école, mais il ne semble pas le remarquer, son baladeur vissé sur ses oreilles, sa minimale allemande le plongeant dans un autisme toujours un peu plus profond. Peu loquace, c'est le plus discret
des trois freres.

Thom

Thom, ne sort jamais de chez lui. Il passe ses journées à poil, a chanter du Link Up trés fort, a peindre sur les murs avec quelques substances (synthétiques ou organiques, tout est bon dans le cochon) ou a prendre des perroquets en photo. La nuit, il s'enferme dans un placard et dévore du Edgar Poe. Passé 3 heures du matin, il se mets a pousser le cri de la mante-religieuse, ouh, ouh.

Dudun

Dudun ne sort que la nuit. Il a un job d'assistant auprés d'un mangaka connu, mais ne s'y rend jamais. La flemme. La nuit, ils sort, seul et rigole.
Il regarde les têtes des gens et se moque, comme ça par plaisir.
De temps en temps, il se prend pour Spiderman et saute de toit en toit, dans l'espoir de toucher la lune, son amoureuse perdue, qui, depuis toujous hante ses nuits. Fan de Street Fighter, il a remporté de nombreux events. Maintenant, il n'y vas plus, parceque bon, la flemme quoi.

Brique-monte.
Brique-monte est une femme, une vraie avec de jolis mamelons fermes, tout comme les sentiments qu’elle offre. Ils sont rares ces derniers temps.
Brique-monte est ardue comme la brique mais poreuse comme l’argile, qu’elle contient.
Comme toute personne vivant au pays de la Terre Rouge elle possède L’ultime pouvoir de la famille légendaire Brique… Son rêve est de devenir la plus grande constructrice de Château basaltique.
Brique-monte n’a pas d’amis. Elle méprise tout le monde, sa propre famille ne lui parait que tissus-de-merde-sur-pattes.
Un clan étranger vient de la repérer. Il lui propose un marché :
Quitter son pays et rejoindre ce groupe mystérieux ;
Ou vivre dans un pays risible ou le bonheur parfait y habite…
Ses pouvoirs ne sont pas normaux, le sceau secret du maléfique Poisson à queue rose inscrit sur son omoplate droite gouverne l’un de ses cervelets…
Le clan mystérieux dit savoir dominer les pouvoirs surpuissants du sceau pour en devenir le maître…
Brique-monte, ce soir, n’arrive pas à dormir.



Les camélias sur la mousse
Le vent sur ma peau
Loin de vous
Je suis si douce